Les crues de la Lèze
Principes généraux d'une inondation dans le bassin versant de la Lèze :
Le bassin versant de la Lèze connaît des inondations par débordement de la rivière. Ce phénomène se déroule en plusieurs phases :
Les pentes assez fortes jouent également un rôle important dans la mesure où le trajet de ruissellement, sur un versant abrupt, est plus court. Les eaux arrivent donc plus vite et avec plus de force.
La nature du sol joue également un rôle en fonction de son épaisseur : plus elle est épaisse, plus la capacité de rétention est importante.
La couverture végétale, en fonction de sa densité, limite le ruissellement : les zones forestières au sommet des versants interceptent les pluies alors que les zones de cultures favorisent le ruissellement en raison de la compacité du sol qui bloque la pénétration de l'eau.
On parle d'inondation à partir du moment où les personnes et les biens sont touchés.
Les décrues sont lentes et régulières alors que les crues sont soudaines et irrégulières.
Conséquences de l'inondation sur le milieu :
Une inondation par débordement produit d'abord et surtout des phénomènes d'érosion. Le fort écoulement est, en effet, capable de transporter des matériaux du haut des versants vers la Lèze. La crue peut entraîner une forte érosion des berges par affouillement. Une baisse rapide du niveau de la rivière au moment de la décrue peut aussi engendrer des glissements de berges. La présence d'un couvert végétal est importante pour réduire ce risque.
Une inondation peut produire des dépôts de matériaux sous la forme, par exemple, de boues capables de faire disparaître une récolte.
La submersion d'une infrastructure peut enfin entraîner l'érosion du revêtement. Ainsi, les infrastrucures à proximité de la rivière doivent être plus souvent entretenues, voire refaites.
Le bassin versant de la Lèze connaît des inondations par débordement de la rivière. Ce phénomène se déroule en plusieurs phases :
- Phase 1: l'intensité des précipitations
- Phase 2 : le ruissellement sur les versants
Les pentes assez fortes jouent également un rôle important dans la mesure où le trajet de ruissellement, sur un versant abrupt, est plus court. Les eaux arrivent donc plus vite et avec plus de force.
La nature du sol joue également un rôle en fonction de son épaisseur : plus elle est épaisse, plus la capacité de rétention est importante.
La couverture végétale, en fonction de sa densité, limite le ruissellement : les zones forestières au sommet des versants interceptent les pluies alors que les zones de cultures favorisent le ruissellement en raison de la compacité du sol qui bloque la pénétration de l'eau.
- Phase 3 : l'accélération du courant de la rivière
- Phase 4 : le débordement de la Lèze
On parle d'inondation à partir du moment où les personnes et les biens sont touchés.
- Phase 5 : la décrue
Les décrues sont lentes et régulières alors que les crues sont soudaines et irrégulières.
Conséquences de l'inondation sur le milieu :
Une inondation par débordement produit d'abord et surtout des phénomènes d'érosion. Le fort écoulement est, en effet, capable de transporter des matériaux du haut des versants vers la Lèze. La crue peut entraîner une forte érosion des berges par affouillement. Une baisse rapide du niveau de la rivière au moment de la décrue peut aussi engendrer des glissements de berges. La présence d'un couvert végétal est importante pour réduire ce risque.
Une inondation peut produire des dépôts de matériaux sous la forme, par exemple, de boues capables de faire disparaître une récolte.
La submersion d'une infrastructure peut enfin entraîner l'érosion du revêtement. Ainsi, les infrastrucures à proximité de la rivière doivent être plus souvent entretenues, voire refaites.
SMIVAL
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